Société

Quand les maçons chantaient et rimaillaient

Lyre. Photo de Ronan Loaëc, tirée de À la découverte des temples maçonniques de France, textes Ludovic Marcos, éd. Dervy, 2017

Très tôt, la musique a été un élément important, décisif même, dans le déroulé des travaux maçonniques. La première édition des Constitutions d’Anderson comprend même quatre cantiques… c’est tout dire ! Le XVIIIe siècle est le siècle d’or… on chantait, et beaucoup. 

Dès cette époque, des recueils sont publiés en France et à l’étranger, regroupant ici une Chanson d’union, là une Chanson des apprentis avec, pour joindre l’utile à l’agréable, la reproduction des partitions. Un de ces volumes, publié en 1766 par un libraire hollandais reproduit sur 560 pages pas moins de 317 chansons, et encore l’éditeur signale n’avoir retenu que des chansons en usage régulier dans les loges. Ces textes souvent simples apportent un éclairage sur la vie des loges, sous le signe de la bienveillance, du plaisir et de la joie d’être

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